25 septembre
Journée nationale d'hommage aux harkis
Les harkis étaient ces supplétifs de l’armée française qui avaient choisi de se battre avec La France contre les nationalistes algériens.
A la fin de la guerre, la France les a abandonnés.
En Algérie, ils furent l’objet de massacres, les familles des combattants n’étant pas épargnées.
Ceux qui avaient gagné la France furent traités en parias, abandonnés dans des sortes de camps d’internement, sans le moindre soutien économique ou social.
Ils ont été marginalisés, frappés d’ostracisme, victimes du racisme, comme si la France les reniait, en avait honte, après les avoir utilisés."
HONTE A LA FRANCE !
VILLE D'ALGER
BLASON DE LA COMMUNE DE kOUBA
MAISON CARREE
EL BIAR
LA CASBAH SE MEURT...
Il existe une fondation Casbah
Sauver la Casbah d'Alger n'est pas une priorité pour les gouvernants algériens
EXEMPLE DE RESTAURATION
dans 15 ans, la casbah aura disparue...
Classé au patrimoine mondial de l'Unesco,la Casbah d'Alger
est un véritablechef d'oeuvre en péril.
Belkhacem Babaci
L'Alain Decaux algérien,
écrivain, historien, ardent défenseur et acteur de la fondation Casbah.
Avant la grande Poste construite en 1913, on aperçoit la Statue du Docteur Maillot,(Quinine – Paludisme ) inaugurée le 15 octobre 1896,
elle a du rester en place jusqu’en 1916 (pour les uns) 1932 (pour les autres) pour ensuite être transférée au square Maillot près du Musée Bardo.
Une réplique se trouvait à l’hôpital Mustapha, salle Maillot.
La statue est celle de René Viviani, qui a été transférée en France malgré sa tête perdue corps et biens en 62.
La première Poste était Rue Jean Bart en 1845.
Ensuite il y en a eu une autre rue Bab Azoun en 1860 .Il me semble avoir lu que celle qui a précédé la Grande Poste se trouvait Bd de la République, je crois, en bordure du square Bresson.
image en 1903.
ROBERT BOULIN
Michou la colère...
OLIVIER GUICHARD
Partisan de faire tirer sur les Pieds Noirs...
100 000 HARKIS SUR LA CONSCIENCE...
Papon...
Fondateur du SAC...
JEANNENAY
Le Bachagha Boualem
Le Bachagha
L'Emir
Général Raoul Salan
Général Maurice Challes
Général Edmond Jouhaud.
Les généraux Challes et Zeller.
Capitaine Leger
Bigeard, Massu, Lacoste.
Colonel Dufour.
Colonel Bigeard.
Colonel Hélie Denoix de Saint Marc.
Colonel Chateau-Jobert.
Chateau-Jobert dit Conan.
Colonel Thomazo
Colonel Antoine Argoud.
Maintien de l'ordre dans Alger
avant 1958
Le quotidien de ma jeunesse...
11 novembre 1960
Bombe à Alger
L'Otomatic
Contrôle de routine...
Bombe en centre ville. Mairie d'Alger
Manifestation avant 1958
L'Amiral Auboyneau, le général Salan
et Robert Lacoste.
Dans les rues d'Alger.
Attentats FLN dans Alger
Devant la synagogue de la rue Marengo.
11novembre 1960 Bd V.Hugo
Ce jour là, j'allais de la rue Berthelot à la rue Auber
et à deux reprises, avec ma mère nous avons du nous réfugier
dans des entrées d'immeuble rue Michelet.
Marché de la lire
Milk Bar
Attzntat à la bombe devant les Etb Soumeillant.
Un carnage.
Un enfant de Bab el Oued
Bombe en pleine ville...
manifestation d'étudiants.
Atmosphère de guerre.
Emeutes dans les rues d'Alger.
Rue Michelet le 11 NOV 1961
Jardin Guillemin
Rue de Chartres.
Rue Bab Azoun
Rue de Chartres
Le plus grand fabulateur du siècle.
Raoul Salan
BIDONVILLE CLOS SALEMBIER
Le traitre
Quadrillage de la casbah
Av Victor Hugo
Pendant la bataille d'Alger
Dans la basse casbah
Bigeard, Massu, Trinquier, Leger
Arrestation de Ben Midhi
les paras en opération en ville...
l'Otomatic, rendez vous des étudiants.
La bataille d'Alger
Sur le plateau des Glières...
Dans la casbah...
LAGAILLARDE avant le 13 mai
Massu
Massu, Soustelle et Delbeque.
Blocus de Bab el Oued
Le Colonel de St Marc
Des scènes courantes dans les grandes villes...
scènes courantes dans les rues d'Alger.
Attentats dans Alger où Barbouzes, FLN et OAS
faisaient régner le chao.
Alger
Oran
Dans le djebel...
LA LIGNE MORICE
En opération...
Exécution...pas toujours des FLN...
Degaulle encourage les algériens à manifester...
Les résistants de la vingt cinquième heure seront nombreux...
Les chefs sans expérience seront subjugués par les communistes...
SERGENT OUAMRANE
Ils auraient pu sauver l'Algérie...
Des chefs incapables...
D.Mine, poseuse de bombes
1. PERLEDEROSE9 le 27-02-2012 à 21:04:20
Tu devrai mettre des nom sous tous ces personnage, ça nous permettrais de savoir qui c'est, J'en ai reconnue quelques uns mais pas tous Perlederose
Ces personnages de second plan faisaient partie de notre quotidien...
Eliane SEROUR
Nanette pour les habitants de BeO
Sage femme et infirmière très aimée.
Le père STREICHER
Michel GESINA
Il n’est rien qui ait un goût plus amer que la Vérité.
Yiddish
"...Que les Français en grande majorité aient, par référendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger : cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
la France est en état de péché mortel. Elle connaîtra un jour le châtiment."
A.JUIN
En 1962, un million de pieds-noirs quitte définitivement l'Algérie. Peu d'entre eux avaient envisagé cette issue dramatique.
Pour qu'ils aient été réduits à cette extrémité, faut-il que l'urgence ait été grande, la peur irrésistible et le désarroi profond !
Rien n'est jamais acquis.
Tout est bataille.
On nous le fait bien voir.
Nous sommes gênants.
On nous efface.
On a bâti une théorie du monde où nous n'avons pas de place.
On nous verse dans le néant avec nos morts, nos espérances et nos souvenirs. "
(Jean Brune)
Le plus grands déplacements
de population du vingtième siècle.
L'excellent film "les harkis".
TRACASSERIES ADMINISTRATIVES
"Ils ont une drôle d'allure, ces passagers en provenance d'Algérie!"
(l'Humanité du 6 janvier 1962)
Le journal La Croix du 24 février 1962, recommandait, au sujet des jeunes rapatriés qu’il fallait :
« …éviter de laisser notre jeunesse se contaminer au contact de garçons qui ont pris l’habitude de la violence poussée jusqu’au crime ».
"Ils fuient. Tant pis !
En tout cas je ne les recevrai pas ici.
D'ailleurs nous n'avons pas de place. Rien n'est prêt. Qu'ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et à aucun prix, je ne veux des pieds-noirs à Marseille".
Gaston Deferre
"Ne laissons pas les repliés d'Algérie devenir une réserve du fascisme."
(François BILLOUX, député communiste-l'Humanité du 5 juin 1962)
Guy Mollet, l'ancien président du Conseil, demande au gouvernement qu'on intègre les rapatriés au plus vite pour ne pas les voir grossir les rangs des formations fascistes.
"Ce sont des vacanciers. Il n'y a pas d'exode, contrairement à ce que dit la presse"
Robert BOULIN, conseil des Ministres du 30 mai 1962.
"Une société qui refuse la solidarité envers ses membres est une société qui se décompose."
En cet été 1962, les Français ne songeaient qu'à partir en vacances...
Nous fumes donc chassés comme des vauriens, d'une terre qui était nôtre puisque de plus en plus s'instaure le principe de " droit du sol ".
Sondage I.F.O.P en 1962 :
62% des français de métropole refusent toute idée de sacrifice à l'égard des "Pieds Noirs".
Beaucoup d'entre nous faisaient partie de la quatrième voire cinquième génération née sur le sol algérien.
" plus qu'un crime, une faute "
Ait Ahmed
" les cultures juive et chrétienne se trouvaient en Afrique du Nord bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd'hui hégémonistes.
" Ait Ahmed.
" Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme - je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français - l'Algérie serait aujourd'hui une grande puissance africaine, méditerranéenne.
" Ait ahmed.
« Ce qu’ils avaient laissé « là-bas, c’était avant tout cette part d’insouciance qui les faisait chanter et rire.
En foulant pour la première fois le sol de la France, ils apprendraient brutalement la signification du mot « demain » dans une situation que personne n’avait pu prévoir et le qualificatif de « Rapatrié » serait apposé à chacun d’eux.
C’était une manière comme une autre de les déposséder à tout jamais de ce sol qui les avait vus naître, de leur dire que jamais il n’avait été leur patrie.
Et l’angoisse les étreignait car déjà la presse progressiste et bon nombre de politiques les avait condamnés.
L’histoire des « pieds noirs » a souvent été déformée car totalement méconnue, remplacée par une histoire coloniale
Ces français sont toujours oubliés et souvent caricaturés 40 ans après un exode dramatique.
Ces français sont toujours oubliés et souvent caricaturés 40 ans après un exode dramatique. Sont-ils difficile à comprendre ?
Ils sont certes différents, tous n’étaient pas colons au sens strict.
Nombreux étaient ouvriers, enseignants, chefs d’entreprise, commerçants.
Il convenait de passer à la trappe le sort des pieds-noirs et de rayer de leur mémoire ceux qui étaient venus, fleur au canon, mourir pour la France.
Quand les métropolitains, en pleine période de vacances, ont vu les rapatriés d’Algérie descendre les passerelles des navires avec leurs vêtements fripés, les yeux hagards, une ou deux valises en carton à la main, pas un seul d’entre eux n’eut une pensée pour cette catégorie des leurs qui, un demi siècle plus tôt, avaient été les principaux artisans de la libération de l’Europe.
« La Croix » du 24 Février recommandait au sujet des jeunes rapatriés
qu’il fallait « éviter de laisser notre jeunesse se contaminer
au contact de garçons qui ont pris l’habitude de la violence
poussée jusqu’au crime».
<!--[if !supportLineBreakNewLine]-->l’angoisse les étreignait car déjà la presse progressiste et
bon nombre de politiques les avait condamnés.
la grande aventure des cinq générations des nôtres, ceux qu’on appelait jadis les petits blancs de Bab el Oued avant qu’ils ne deviennent d’affreux colons « à cravaches, montés sur cadillach.
C’est aussi l’histoire banalisée de la souffrance de nombreux adolescents qui n’eurent pas la chance de vivre l’époque insouciante d’une jeunesse au soleil comme a pu la vivre Albert Camus.
Cette histoire fut pour bon nombre d’enfants de ce pays, qu’ils soient arabes, juifs ou européens, un épisode douloureux parsemé de choix, d’engagements et de souffrances.
Nous avons été trahis par ceux que nous aimions, par l’amour d’une France idéalisée et par celui que nous avions appelé pour assurer nos destinées dans la solution la plus française. Avec les Harkis, nous restons l’un des épisodes les plus honteux de l’ histoire de France.
Avec les arabes et les juifs, ils bâtirent et aimèrent avec une égale passion leur terre natale qu’ils assimilaient naïvement à une France sans doute idéalisée et qui n’a peut être jamais existé.
Demain…
si la « rhaïta et le derbooka » remplacent le son du bignou, du fifre et du tambourin, nous les Africains, pour qui « les carottes sont cuites » déjà depuis fort longtemps,
ne seront ni les plus surpris, ni les plus dépaysés.
"...Que les Français en grande majorité aient, par référendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger : cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
Bab el Oued
Collectionnant ces photos glanées sur le net depuis de
nombreuses années,
je suis incapable d'en donner les sources.
Que tous ceux qui se reconnaîtront comme étant les auteurs de ces clichés se voient remerciés.
l'avenue de la Bouzaréha
Entrée de l'avenue Malakoff en venant de
St Eugène côté mer.
Cliché datant des années 1940.
La Station BERYL de la marque Energol
Café le Palace angle rue Suffren.
la bassetta
Fut longtemps le plus grand cinéma de France.
Les hauts de BeO
Accès vers la rue Bab Azoun en venant de la caserne Pelissier.
ci dessous le même endroit quelques années plus tard.
l'autre extrémité du quartier
L'entrée du faobourg de BeO
square Nelson
Square Nelson, côté rue Borely la Sapie.
Aznavour, les Platters, Paul Anka, Jacques Hellian, Perez Prado, Xavier Cuga, Dario Moreno, Dalida, Gloria Lasso....
Les Variétés, rue Eugène Robes.
Guillemin, jardin et square, du nom d'un maire de la ville d'Alger.
av de la Bouzarhéa
Le rendez vous de Luis Mariano aux mères de famille du quartier .
la mairie préfabriquée du 1er Arr.
en route vers le terminus de N.D d'Afrique.
la petite fontaine blanche avait par la suite disparue.
La rue principale du marché.
Le Triolet.
Les trois horloges.
AVENUE DES CONSULATS
Ceux de la rue Mizon reconnaitront.
Bab el Oued
Le collège Condorcet
Le "Mon Ciné" Rue Rochambeau
La boulangerie REALE
La rue Mazagran
Le N°7 de la rue Mazagran
L'épicerie APICELA et l'atelier de Mon BOISIS
L'école Rochambeau
Vue de mon balcon
La rue Mazagran vu de mon balcon.
ECOLE ROCHAMBEAU
Rue Mazagran
Avenue Durandeau
A la place de la table de droite, il y avait un marchand de coquillages.
La table de gauche: Chez Guedj.
Le salon de coiffure d'Antoine PAPPALARDO
La maison de Paquito.
Une école à la place du café Cadix emporté par les inondations.
L'atelier de tôlerie de Monsieur Henry Lévy
Alger Républicain
1. fls. le 27-01-2012 à 15:44:27
Merci de faire revivre les souvenirs......nous gardons tous la nostalgie de notre pays et ce retour dans les souvenirs de notre enfance font du bien. L'Algérie restera notre pays nous y sommes nés et nos racines sont lá- bas.
Deuxième voyage à Alger 2008
Le véhicule mis à notre disposition par l'ONAT
Visite guidée de la casbah.
Notre Dame d'Afrique
Au tombeau de la Chrétienne
Visite incontournable.
nos sportifs
Photo du Galia Sport Algérois, Hubert Zakine.
Fabiano, Salva 5, Fortuné, Torres 7,Gambarutti,
Ferrace 2, Biton, Mercadal, Azef, et Roger Deléo.
a l g e r
Toute la partie gauche de la rue Bab el Oued a été détruite.
La Préfecture
Galeries de France
Les galeries de France
Les galeries de France
L'Opéra
La chambre de commerce.
La chambre de commerce.
Ci dessous détail de la façade.
LA P O I N T E P E S C A D E
Elle avait les yeux les plus pétillants que j'ai connu...
R A Ï S H A M I D O U
A L G E R
Traditions et modernité
Une famille au cabanaon (H.Zakine)
Paquito Esteve 1er à droite
(H.Zakine)
Jusqu’au début du siècle, on a utilisé les scourtins pour filtrer la pâte d’olives. Ces étranges paillasses circulaires étaient fabriquées avec des matériaux très divers : tiges d’alfa, fibre de coco ou d’aloès, chanvre. Dans les moulins provençaux, on utilisait des cabas en alfa, herbe originaire d’Afrique du Nord. Les tiges d’alfa ne communiquent pas de mauvais goût aux huiles car leur surface est vernissée.
Elles retiennent ainsi peu de matières grasses.
Aujourd’hui les scourtins sont en nylon.
Dans les montagnes berbères au dessus d'Agadir (Immouzer) la méthode est restée la même.
Départ de la diligence de Blida.
Stock-car au stade de St Eugène
Le kilomètre, il se léchait le pouce et l'index pour pas quç'à colle.
existait encore durant les années 50 devant l'école Rochambeau.
Femme d'Alger
Notable
Une belle algéroise
Une fierté pour les algérois
Détail entrée d'une maison à BeO
Notre restau dans les escaliers de la pêcherie
Le vieil Alger
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